Prévision : 2010 serait l’une des années les plus chaudes jamais recensées

 

   D’après les scientifiques du National Climatic Data Center, l’année 2010 pourrait être l’une des années les plus chaudes jamais recensées, tandis que le niveau des glaces dans l’Arctique est l’un des plus bas de ces dernières années.

 

Au cours des huit premiers mois de l’année 2010, le record de température de la surface de la terre et de la mer combinée a atteint 14,7°C,

soit 1,21°C de plus que la moyenne enregistrée au XXe siècle.

 

Un record qui avait déjà été atteint en 1998.

 

Alors que les températures de juin à août dans l’hémisphère nord sont les deuxièmes plus chaudes après 1998,  

la moyenne des températures a été dépassée dans la plupart des régions de la planète,  

en particulier dans l’est de l’Europe, l’est du Canada et certaines parties de l’Asie de l’Est.

 

À l’inverse, Australie, Russie centrale et Amérique du Sud méridionale ont connu des températures plus froides, quand la Grande-Bretagne enregistrait son mois d’août le plus frais depuis 1993.

 

Le National Climatic Data Center révèle par ailleurs que le niveau de la couverture glaciaire semble avoir atteint son niveau le plus bas de l’année le 10 septembre dernier.  

 

Depuis l’enregistrement des données satellites, initié en 1979, la couverture glaciaire a atteint en 2010 son troisième niveau le plus bas, passant sous la limite des 5 millions de km².

 

Source : Maxisciences                                                                                                                                                                                                                                                                                

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2 Commentaires sur

Prévision : 2010 serait l’une des années les plus chaudes jamais recensées

  • tipimanNo Gravatar |

    Avec les pollueurs Sarkozy et Borloo… ça n’arrange pas les choses.

  • EricNo Gravatar |

    El Niño -2002 – avait provoqué de violents orages au Chili, causé la pire des sécheresses en Australie, entraîné des tempêtes meurtrières sur la côte ouest des Etats-Unis. Mais, La Niña se caractérise par une hausse des températures de surface de la mer dans la zone centrale et orientale du Pacifique équatorial. Les conditions de ce phénomène climatique, aujourd’hui bien établies dans le Pacifique, sont à nouveau redoutées par les experts de l’organisation mondiale de la météo. de nouveaux et profonds phénomènes climatiques sont donc à prévoir

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