L’homme qui en voulait trop

 

    Le sénateur Philippe Marini envisageait de siéger au conseil de surveillance d’une société foncière (Inea).

 

Saisi de ce dossier, le Conseil constitutionnel a estimé mardi que cela est incompatible avec son mandat d’élu.

 

« Le doute est levé », explique Philippe Marini au JDD.fr.

 

Il affirme n’avoir aucun regret et … « 50.000 autres opportunités ».

 

Question bête et méchante : lorsqu’on est président de conseil régional, adjoint au maire, député en mission, président d’une communauté d’agglomération, peut-on aussi être PDG d’une structure comme la SPLA Maraïna ?

En a-t-on le temps ?

 

La suite de l’article sur Marini à l’adresse suivante :

http://www.lejdd.fr/Politique/Actualite/Le-senateur-Philippe-Marini-ne-travaillerra-pas-pour-la-societe-fonciere-Inea-243509/?sitemapnews

 

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1 Commentaire sur

L’homme qui en voulait trop

  • anonymeNo Gravatar |

    est-ce une jurisprudence? toujours est-il que le conseil constitutionnel pourrait peut être étudier d’autres cas de « cumuls » plus ou moins normaux

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