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2012
Infos sur la planète Didier Robert et son satellite Farreyrol : le monde bouge… et alors ?
Catégorie : OCEAN INDIEN, R'humeur, Tourisme
Air Mauritius va mettre en place des vols directs vers Shanghai, la plus grande ville chinoise, deux fois par semaine à partir de janvier 2013.
Un vol Maurice/Shanghai : : et les îles vanille, ousa i lé ?
Pour le ministre mauricien du tourisme, cette décision est conforme à la stratégie du gouvernement de promotion de la destination mauricienne pour atténuer les impacts de la crise de la zone euro.
Et le ministre de déclarer :
« Notre objectif est de doubler le nombre de touristes chinois sur une base annuelle, à partir de 2013 ».
D’où son prochain voyage en Chine avec différents professionnels du tourisme pour « commercialiser la destination et engager les principaux voyagistes chinois et obtenir leur engagement à promouvoir et vendre la destination de façon plus agressive ».
Bon sang, ne peut-il pas prendre dans ses bagages Didier Robert – qui s’arrêtera au retour à Singapour pour négocier un carburant moins cher – ou Farreyrol « à défaut de merles », an nom de la solidarité touristique « vanillée » ?
Un tourisme vert : et les îles vanille, ousa i lé ?
Ce n’est pas tout : le ministre mauricien a également annoncé l’élaboration d’une norme d’éco-étiquetage pour le secteur du tourisme, en harmonie avec les objectifs de du projet Maurice Ile Durable.
Le label vise à positionner efficacement le secteur du tourisme comme une industrie verte.
Mais le label vise aussi à soutenir les entreprises touristiques dans leur volonté d’être respectueuses de l’environnement par l’adoption de pratiques écologiques tels que des dispositifs économiseurs d’énergie, les fournitures d’énergies renouvelables et l’installation d’unité de dessalement de l’eau de mer et des usines de recyclage.
Un argument commercial supplémentaire.
Et pendant ce temps, à La Réunion, Didier Robert « danse avec les baleines » et continue à « bat’karé ».
Quant à l’IRT, elle dépense des sommes considérables pour son loyer… mais tout va très bien, madame la Marquise !