27
2012
Réseaux sociaux – La règle que j’estime devoir s’appliquer sur Facebook
Catégorie : AMITIES-MESSAGES
La photo de mon profil sur Facebook
Je voudrais vous informer d’un message que j’ai publié sur mon mur, étant un inscrit assidu sur Facebook.
Pour que vous vous fassiez une idée de ma démarche qui consiste à partager avec des amis, souvent virtuels, mais qui veulent mieux connaître l’autre, confronter ses idées, en toute franchise, et sans hypocrisie.
À vous de juger.
» Sur Facebook, la règle est d’accepter un lien d’amitié avec des personnes qui souhaitent comprendre l’autre, et de ne pas l’envisager avec une arrière-pensée dont le point d’orgue est l’intérêt politicien.
Il faut donc s’efforcer de respecter le point de vue de son interlocuteur, avec le souci que ce soit réciproque.
EN TOUTE FRANCHISE. C’est important, et non négociable.
Cet avant-propos sous forme de mise au point, je le fais pour expliquer pourquoi je vais mettre un terme au lien d’amitié qui me lie sur Facebook avec deux personnes.
La première personne parce que le lien d’amitié de plusieurs mois repose sur une grossière hypocrisie.
En effet, depuis quelque temps, cette personne, membre comme moi de la même majorité, fait tout pour ne pas me dire bonjour, alors que nous sommes collègues au département, ce qui nous amène à nous rencontrer, ne serait-ce que lors des commissions permanentes.
Il s’agit de Ibrahim Dindar.
La deuxième a publié sur sa page Facebook le message suivant :
« La commission permanente s’est déroulée ce matin en l’absence des groupes PCR-ALLIANCE et PS.
En cette période où l’actualité socio-économique locale se fait particulièrement brûlante…à l’heure où nos quartiers s’embrasent… je regrette vivement que l’ÉTHIQUE DE RESPONSABILITE, qui doit animer chaque élu de la République, à fortiori lorsque la population souffre et crie son mécontentement, n’ait pas primé sur la politique politicienne et les intérêts électoralistes.
Dans le contexte actuel, la politique de la « chaise vide », je doute fort que les Réunionnais puissent la comprendre.
» Ce que cette « amie », – qui, au passage, n’a répondu qu’un an après à mon invitation à être amie sur Facebook… est-ce l’approche des élections et mon annonce que je serai candidat sur Saint-Denis ? – j’ai nommé Nassimah Dindar, ne dit pas, c’est que les élus PS et PCR de sa majorité (22 sur les 33 soit les 2/3) sont traités par elle « par dessus la jambe ».
Après avoir renié son camp originel, elle accepte de faire une majorité à trois avec le PS et le PCR… en déclarant juste après son admiration pour Jean-Louis Borlo, radical de droite qu’elle espérait voir candidat aux présidentielles contre Sarkozy.
Borloo ayant renoncé, elle entreprend, tout en se déclarant de la Droite sociale (nom utilisé par un certain Laurent Wauquiez, ministre UMP de Sarkozy, pour son mouvement), un rapprochement avec Bayrou… tout en votant aux primaires socialistes, dont elle approuve ainsi comme l’exige la charte des primaires socialistes, les valeurs de gauche ( !).
Et pendant ce temps, elle foule aux pieds l’engagement pris, et écrit (!), avec PS et PCR en mars 2011, de partager la direction du département, ne serait-ce qu’en réunissant comme prévu chaque mardi les présidents de chaque groupe (Roland Robert pour le PCR, Gérald Maillot pour le PS, et Thierry Robert pour les Modérés).
Or, depuis 2012, AUCUNE réunion ne s’est tenue, car elle trouvait toujours un prétexte pour ne pas être disponible. Et la goutte d’eau qui a fait déborder le vase, c’est l’annulation de la réunion de ce mardi 21 février, sans même avertir les représentants PS et PCR, qui s’étaient déplacés.
Elle n’a d’ailleurs pas démenti ce que le journal « Le Quotidien » a écrit, à savoir qu’elle avait au même moment un rendez-vous important… chez le coiffeur !
Pourtant, nous devions lui demander les raisons qui l’ont conduit à décider unilatéralement en préfecture d’une contribution du département afin d’aboutir à la baisse du prix de la bouteille de gaz.
Nous ne sommes pas contre, mais décider sans ses partenaires, c’est les considérer comme négligeables, et corroborer l’idée répandue par celles et ceux qui disent en avoir fait les frais par le passé, qu’elle se sert de ses partenaires comme des kleenex.
Surtout quand elle dit que notre absence est un « épiphénomène », alors que nous voulions la rencontrer pour lui demander aussi pourquoi elle a inscrit à l’ordre du jour de cette commission permanente la question relatives à deux associations, dont une est très liée à son collègue, candidat à la députation, Thierry Robert, qui devait bénéficier de subventions financées à 3/3, donc EN TOTALITE, par le département.
C’est tellement suspect que l’opposition, avec qui elle s’est accommodée pour tenir cette commission permanente en l’absence de ses partenaires de la majorité, PCR et PS, lui a gentiment demandé de retirer cette question de l’ordre du jour, sous peine de voter contre, ce qui l’aurait mis en minorité !
Ce n’est pas la première fois qu’elle prend ses aises avec des engagements.
Vous comprendrez que l’hypocrisie ne peut plus être de mise au moment où, comme elle le dit si bien, « la population souffre et crie son mécontentement » !
Vous avez de très bons amis!!!
Mon pauvre Pierre , qu’est ce que les gens en ont à foutre que tu ne sois plus ami virtuel avec moi.
Et moi donc !
Tu es une fois de plus à cote de la plaque : la vraie hypocrisie aurait été de continuer à te saluer . En stoppant ce simulacre de courtoisie ( au demeurant après que tu m’aies attaqué à maintes reprises dans tes dialogues imaginaires et blogs ( surement ta conception de l’amitié), je t’ai signifie clairement que tu ne méritais ni mon salut ni ma considération. Moi, je ne passe pas par 4 chemins et je ne ponds pas une missive sur le net ! Quel ridicule !pourquoi as tu besoin de justifier que le seul rôle qui te sied bien c’est celui de roquet et que tu te complais dans des petits procès staliniens . Mon cher petit fils à papa, l’époque a changé et tu n’es plus le maitre de monde .
J’ai hésité avant de décider de faire paraître ce commentaire « virulent ». J’ai décidé de le faire en apportant une réponse appropriée, et réconfortante sur le bien fondé de ma démarche.
D’abord, je ne suis pas ton « pauvre ».
Ensuite, j’ai le devoir d’informer mes amis de Facebook et de mon blog sur ma démarche. Je ne crois pas qu’il s’en fichent (et non pas qu’ils s’en f… restons polis !).
Je ne savais pas que l’emploi de la dérision – au demeurant en usant de personnages imaginaires parmi lesquels tu te reconnaîtrais( ?!) -, voire même d’articles où la critique (JAMAIS L’INSULTE ET LE MÉPRIS !) est de droit, entraîne dans un comportement normal de ne plus dire bonjour à son interlocuteur.
À ce rythme-là, un grand nombre de gens ne se diraient plus bonjour.
Ton commentaire (excuse-moi de te tutoyer, car jusqu’aujourd’hui c’est la règle, mais sache que je respecte suffisamment les gens pour me conformer à leur exigence de politesse, même s’ils souhaitent qu’à l’avenir je les vouvoie ) montre que le net n’est pas à négliger, même par toi (vous ?).
Enfin, le terme de « roquet » ne mérite pas de réponse, ni celui de « fils à papa », et je n’ai jamais été, je ne le suis pas, ET JE NE CHERCHERAI JAMAIS, CAR JE SUIS BIEN DANS MA PEAU, à être le « maître du monde ».
Mais il mérite une interrogation : cela voudrait-il dire que tu (vous ?) penses que je ne suis que télécommandé par mon « papa » ? Ou que vous enragez de constater que la duplicité et le double jeu (double je ?) apparaît au grand jour après les sénatoriales ?
Le débat, aussi vif fût-il, et la critique, aussi libre soit-elle, n’exclut pas le respect, MÊME AVEC L’OPPOSITION, QUE CELLE-CI SOIT REPRÉSENTÉE PAR DANIEL GONTHIER, CYRILLE HAMILCARO, OU DIDER ROBERT !
Je sais que c’est un exercice difficile, mais en prenant le temps, sans s’énerver et se presser, on y arrive.
Bienvenue au club, M. Vergès ! Moi aussi, il m’a répondu. En commençant un peu de la même manière: me répondre aurait été inutile; bon, il l’a fait quand même.
J’ai relu sa réponse (parue sur un autre blog); et je suis très étonnée de la différence de style entre la réponse qu’il vous a faite et celle qu’il m’a adressée; il y a des références historiques, politiques, littéraires… Appeler, dans le même texte Chirac et WAldeck Rousseau, Molinari et Sarko… fallait le faire !
Ibrahim Dindar avait également dit que me répondre était dangereux. A croire qu’il aime le danger !
Trop comique aussi, le fait qu’il parle d’honnêteté intellectuelle – que je n’aurais pas, ce qui ne serait pas son cas !
mais je persiste et signe: le concept « droite sociale » a-t-il un sens? et si la droite sociale réunionnaise était « antérieure » à celle de Wauquiez, on peut tout de même se dire qu’il y a des convergences idéologiques: par exemple sur la question des tests ADN pour le regroupement familial
Mi kroi bien c out kandidatir si sindni i énérv a li. Parl pa de respè avek in boug com sa, c in mo ke li zamé koni. A traver sak li la ekri ou voi son vré figuir : in mal apri!
Pourquoi ne pas pousser la logique et l honnêteté jusqu au bout en démissionnant de vos responsabilités au sein de la majorité actuelle du Conseil Général? Au moins les choses seraient claires car là je ne comprends plus : vous critiquez la gestion de la présidente, vous la rayez de vos « amis » mais vous êtes encore son vice président. Les postes et les émoluments qui vont avec sont davantage négociables qu une amitié sur Facebook alors?
Monsieur Dindar aime perdre son sang froid il n’a pas l’etoffe d’un politique car rentre dans tout ce qui bouge et detruit au passage tout ce qui peut etre sur son chemin! son message en dit long sur son personnage ! mais rassurez vous tout le monde connait sa mechanceté et son sens personnel de la politique. Il ne fait rien pour les autres mais toujours tout pour lui et meme sa dame peut se faire du soucis car si en ce moment il dit travailler pour elle c’est entirement faux il ne fait que profiter de la presidence de sa femme pour regner par procuration sur le conseil general c’est minable car le peuple n’a jamais voulu de cet individu aux commandes du departement
Ne mélangez pas tout, Surpris. Pour être dans la majorité du CG, il n’y a pas obligation d’être ami sur Facebook. Deuxièmement, ce n’est pas « un ministre, ça la ferme ou ça démissionne ». Nassimah Dindar n’est ni présidente de la République ni premier ministre, et je ne suis pas son ministre. J’ai libre parole, et des délégations de vice-président que j’assume. Lisez-le sur mon blog. Quant aux émoluments, ils servent à mon Parti ! Mais pourquoi vous ne posez pas, monsieur (ou madame) Surpris, la question suivante : puisqu’elle ne respecte pas le pacte de majorité, pourquoi ne démissionne-t-elle pas ?
Mon « Cher » (c’est mieux que pauvre:-/) Pierre,
Ne dit-on pas que si on veut manger avec le diable, il nous faut une grande, très grande fourchette… Aujourd’hui que le lit des anciennes rivières retrouve son courant naturel, certains perdent pied et, un peu comme les noyés à la recherche d’oxygène, sont prêts à emporter avec eux les personnes venant à leur secours.
En vous apostrophant de la sorte, vos anciens commensaux tombent ce qui leur reste de potiches… (n’y voyez aucune allusion…) et montrent du coup leur vrai visage… Ainsi voit-on mister Dindar s’ériger en pourfendeur de l’hypocrisie… Un domaine dans lequel il fait figure de spécialiste depuis les années où on le voit tel un yoyo voguer d’un bout à l’autre de des tropiques politiques des deux hémisphères… Allez…
Bon débarras !
Monsieur Dindar Ibrahim?
Le glaive de la parole, le pouvoir de l’éloquence?
pour le glaive, on se rappelle de ses ennuis au sujet de cette assoc’
pour la parole, on se rappelle des propos sur le personnel ADI
pour le pouvoir, on a pu constater ce que cela donne
pour l’éloquence… chacun peut apprécier