Décryptage de mon intervention vidéo – Jusqu’où iront les dirigeants de l’IRT ? (volet 3)

 

Je vous ai dit dans le 2e volet concernant l’IRT que l’effectif avait explosé, passant sous ma présidence de 67 personnes à 113 personnes avec Jacqueline Farreyrol en un an !

 

Vous comprenez mieux pour quoi le budget de l’IRT a augmenté de près de 50 % en un an !

 

Il est passé de près de 13 millions d’euros, y compris la subvention européenne du FEDER (pour les campagnes de promotion notamment, que vous avez sans doute vues sur les chaînes nationales), à 19 millions d’euros du seul fait du prince de Didier Robert et sa majorité régionale.

 

Je vous rappelle que les élus de l’opposition régionale ont demandé en vain des précisions concernant l’utilisation de ces subventions pourtant importantes.

 

Mais ce qu’il faut comprendre, c’est que cela traduit un état d’esprit.

 

Ces « responsables » entre guillemets partent du principe que la presse n’en parlant pas outre mesure, ils peuvent faire ce qu’ils veulent !

 

Cet état d’esprit se retrouve dans leur comportement.

 

Permettez-moi à ce propos de mettre a mal quelques clichés me concernant que certaines personnes mal intentionnées voudraient voir prospérer, du style « arrogance ».

 

Lorsque j’étais président de l’IRT, je passais presque tous les jours au siège rue Roland Garros (en fait place de 20 décembre 1848 au barachois, que j’ai « confondu », veuillez m’en excuser avec la statue Roland Garros) et de bureau en bureau pour saluer le personnel.

 

J’ai été celui qui a donné la parole et des délégations aux vice-présidents de l’IRT, sans pour autant céder la responsabilité de président qui m’avait été confiée.

 

J’ai au surplus donné un droit d’initiative au personnel pour une meilleure productivité.

 

À ce sujet, j’ai permis à un cadre financier qui avait été mis au placard de retrouver son poste pour lequel il faisait preuve d’une grande rigueur.

 

Trop même, puisque sur la foi d’une décision de bureau de l’IRT prise sous ma présidence, selon laquelle seul le Président peut avoir un billet en classe confort, ce cadre a refusé de valider une commande d’un billet en classe confort pour la « chargée de protocole » (si, si, ça existe dans un comité de tourisme « cocotier » !) qui est très liée, cette chargée de protocole, avec la présidente Jacqueline Farreyrol.

 

Mal lui en a pris, puisque depuis, il a été viré après plus de 25 ans de services.

 

Et ce sur la base d’un dossier que ce cadre estime « bidon » au point qu’aujourd’hui, il est en contentieux pour un licenciement qu’il estime pour le moins abusif !

 

Mais il n’est pas le seul, puisque la responsable de communication, elle aussi reconnue par sa profession, vient d’être remerciée.

 

Cette responsable a participé pourtant à la création de la lettre de l’IRT, à la mise en place du contenu du site internet de l’IRT, et à la politique de transparence dans les actions de filière tourisme.

 

Virée sans doute parce qu’elle n’avait pas les faveurs de l’équipe « dirigeante » entre guillemets.

 

Je dis entre guillemets car je ne suis pas sûr qu’il soit de bonne politique de confondre autorité et autoritarisme.

 

Une anecdote drôle a circulé à ce propos en ce qui concerne  la présidente de l’IRT. j’ose espérer que ce n’est pas vrai.

 

Il paraîtrait qu’une carte a circulé dans les services pour que chaque salarié mette un petit « mot » gentil pour la présidente dont c’était l’anniversaire le 25 février !

 

Drôle d’ambiance à l’IRT !

 

Dans le prochain volet, je vous livrerai d’autres informations aussi croustillantes qu’incompréhensibles !

 

Bonne journée à vous !

 

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