Image de marque de la France : elle… rétrécit ?

 

   Sarkozy, « le président qui rétrécit » : la photo jointe est celle de la une de l’hebdomadaire anglais « The Economist ».

 

On y voit une femme accompagnés d’un petit homme camouflé par un grand couvre-chef.

Le titre de l’article, « The incredible shrinking président » fait référence au titre d’un film américain de 1957 « The Incredible Shrinking Man » qui raconte l’histoire d’un homme qui diminue jusqu’à devoir se battre avec un chat ou une araignée.

 

Ce titre peut être traduit par « le président qui rétrécit ».

 

L’article permet de comprendre qu’il s’agit de Nicolas Sarkozy dont le journal avait soutenu la candidature à la présidentielle. La femme est en effet Carla Bruni-Sarkozy.

  

(D’après rue 89) 

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2 Commentaires sur

Image de marque de la France : elle… rétrécit ?

  • Jean-JacquesNo Gravatar |

    Voilà une phrase que j’ai bien aimé, dans cet article: «Après un peu plus de trois ans au pouvoir, M. Sarkozy n’est plus que l’ombre du réformateur qu’il était sur le plan économique, et une caricature du dirigeant coriace qu’il était sur les questions sociales»

  • Jean-Jacques (bis)No Gravatar |

    Il y a aussi un bilan de la présidence Sarkozy. Le journal cite une grande partie des erreurs stratégiques commises par l’homme qui rétrécit : les Roms, les scandales en tous genres. Le ton est caustique : « même son propre camp commence à douter de lui pour la présidentielle de 2012 ». Bon, ceci dit, The Economist aime bien, malgré tout, le petit Nicolas et voudrait bien qu’il redevienne « le grand Sarkozy ». Ce journal très réac écrit même que Sarko n’est pas allé assez loin sur les retraites, la réforme est « trop timide ». Les Français doivent travailler plus dur. Et plus longtemps. Cette phrase non plus n’est pas mal : « un leader plus courageux aurait repoussé encore plus loin l’âge légal de la retraite. Le Sarkozy timide et réactionnaire d’aujourd’hui ne verrait peut-être pas grand avantage à des réformes plus profondes. Mais son alter ego d’hier comprendrait peut-être qu’il n’a pas grand-chose à perdre à essayer. »

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