décembre
17
2010
17
2010
L’homme qui en voulait trop
Catégorie : Présidentielles 2012
Le sénateur Philippe Marini envisageait de siéger au conseil de surveillance d’une société foncière (Inea).
Saisi de ce dossier, le Conseil constitutionnel a estimé mardi que cela est incompatible avec son mandat d’élu.
« Le doute est levé », explique Philippe Marini au JDD.fr.
Il affirme n’avoir aucun regret et … « 50.000 autres opportunités ».
Question bête et méchante : lorsqu’on est président de conseil régional, adjoint au maire, député en mission, président d’une communauté d’agglomération, peut-on aussi être PDG d’une structure comme la SPLA Maraïna ?
En a-t-on le temps ?
La suite de l’article sur Marini à l’adresse suivante :
est-ce une jurisprudence? toujours est-il que le conseil constitutionnel pourrait peut être étudier d’autres cas de « cumuls » plus ou moins normaux