Du 29 juillet au 31 août : rétrospective – Mai 2013 : du fait agricole à la réalité des hauts de l’Île

Pierre Vergès Je serai absent pour les jours qui viennent. C’est l’occasion de vous faire partager une rétrospective de mes articles depuis deux ans. Et les informations contenues dans ces papiers ont toujours une part d’actualité. J’entends par là qu’il est intéressant de voir combien la citation de Blaise Pascal « Vérité en deçà des Pyrénées, erreur au delà » est juste.

Ainsi par exemple, la vérité sur un fait, l’indignation devant une injustice, la revendication devant un traitement inapproprié , peuvent être fortes… ou faibles voire inexistantes, selon que l’on est dans l’opposition ou au pouvoir.

Cela dit, celles et ceux qui dans ces articles sont sujets à des critiques peuvent avoir parfois montré leurs aptitudes à se remettre en cause. Comme quoi personne n’est parfait.

Enfin, j’arrête là et vous souhaite bonne lecture !

 

13 mai 2013 – L’Île de La Réunion « Courage » grâce à des Réunionnaises et des Réunionnais « Courages »

 

Pierre Vergès Foire BP Les agricultrices et agriculteurs récompensés, dans la salle du Conseil municipal de la Mairie de Bras-Panon

Vendredi matin, j’ai participé, en tant que vice-président du département délégué à l’agriculture, à la traditionnelle remise des prix du Concours départemental aux agricultrices et agriculteurs les plus méritants. 

Organisée annuellement, cette remise des prix vient récompenser des lauréats parmi une multitude de Réunionnaises et de Réunionnais qui portent bien haut le flambeau d’une agriculture performante.

Trop souvent, des observateurs parlent avec méconnaissance de ce secteur décisif pour notre Île.

Peut-être parce que nous ne communiquons pas assez.

Adepte d’une communication grand public, je concède bien volontiers cette explication.

Encore que… l’on peut faire l’effort de se renseigner. 

Il en est ainsi de la volonté résolue du Conseil général, compétent depuis 2005 tant pour l’agriculture animale que végétale, la Région ne gardant la compétence que pour l’industrie dans le domaine agro-alimentaire, de tout faire pour parvenir à l’auto suffisance alimentaire.

Je l’ai souligné à l’occasion de cette cérémonie : l’auto suffisance alimentaire a de multiples vertus, et elle est en marche.

Elle participe à la préservation foncière et à un aménagement harmonieux du territoire.

Elle participe au maintien d’une population active agricole dans un contexte où le chômage sévit et où la valeur travail est diminuée.

Elle prend en compte l’impératif écologique d’un bilan carbone moins négatif, puisque l’objectif est d’importer le moins possible, évitant les coûts d’acheminement.

Enfin, elle met en avant le principe de sécurité alimentaire, à un moment où les scandales issus d’un manque de traçabilité des produits, mais aussi d’un état d’esprit mercantile où le profit à tout prix est la règle, se multiplient.

Bien sûr, malgré les efforts déployés, notre agriculture est fragile, exposée aux fléaux que sont la sécheresse et les cyclones, et affectée par les difficultés non encore résolues d’approvisionnement en eau, dans les périmètres irrigués ou non.

Cela explique que nos institutions responsables des propositions en matières de programmes d’aides européennes, Région et Département, travaillent en dehors de toute opposition politicienne, car les enjeux sont fondamentaux.

Ainsi, avec l’Etat, nos deux collectivités territoriales ont créé une association, l’AGILE, l’Association de Gestion des Initiatives Locales en matière Européenne.

Celle-ci est chargée de coordonner les propositions concernant les projets éligibles aux fonds européens, et de faire connaître aux partenaires, jusqu’à l’échelle européenne, l’état d’avancement dans l’exécution des programmes.

Les efforts doivent être poursuivis, ce qui explique que nous nous battons, avec notamment le député réunionnais au Parlement Européen Younous Omarjee, pour le maintien du niveau des aides et notamment en ce qui concerne le POSEI (Programme d’Options Spécifiques à l’Eloignement et à l’Insularité).

 

Le motif est évident. Les résultats sont là :

1°- La surface agricole utilisée, et l’emploi agricole, se sont maintenus.

2°- La formation des agriculteurs s’améliore.

3°- La production agricole progresse en valeur.

4°- La diversification agricole se poursuit.

 

Je pourrais continuer une énumération justifiant des progrès réalisés.

J’en ferai état lors de prochains articles, notamment en m’appuyant sur les Cahiers de l’Agriculture et le PRAD (Plan Réunionnais pour une Agriculture Durable), en cours d’élaboration. 

Ces documents de référence serviront à la négociation du programme d’aides européennes pour la période 2014-2020.

Un seul constat : le marché des fruits et légumes frais est estimé à environ 130 000 tonnes.

La production réunionnaise concourt à son approvisionnement pour près de 75 % des volumes (en métropole, la couverture de la consommation de fruits et légumes frais par la production est inférieure à 50%).

Il faut poursuivre les efforts.

Il faut surtout avoir une approche sociale de notre démarche. 

C’est pourquoi le Conseil général réfléchit à une politique de soutien en faveur de la généralisation des jardins familiaux en milieu urbain.

Cela permettra aux citoyennes et aux citoyens d’appréhender encore mieux la dimension agricole et le caractère indispensable d’une agriculture locale dans la structuration et l’épanouissement de la société réunionnaise.

Voilà quelques données qui expliquent pourquoi j’ai tenu à être présent ce vendredi en mairie de Bras-Panon pour récompenser les pionnières et pionniers d’une agriculture réunionnaise forte.

Comme en 2012, 14 prix ont été décernés, aux lauréats de la filière animale.

Mais cette année, et pour la première fois, ont également été récompensés les producteurs de la filière organisée des Fruits et Légumes concourant au concours départemental du végétal organisé par le Conseil Général et l’Association Réunionnaise des Organisations de Producteurs de Fruits et Légumes (AROP- FL).

Dans le cadre de ce concours, une attention spéciale a été portée aux démarches de qualité (label rouge, agriculture raisonnée et biologique, jeune agriculteur, structuration de filière,…) mises en œuvre par les producteurs sur leur exploitation, au profit d’un développement durable.

Celles-ci sont importantes car elles répondent aux objectifs de progrès de la filière et aux nouvelles attentes de la population.

Elles permettent à la filière de se tourner sereinement vers l’Agro écologie.

C’est ainsi que deux agriculteurs de la filière organisée ont reçu le prix : Engagement pour une démarche de qualité.

Certifiés « Agriculture Raisonnée », ces deux agriculteurs sont sensibilisés et mettent en pratique une agriculture respectueuse de l’environnement sur leur exploitation. 

Les jeunes agriculteurs ont également été à l’honneur.

Trois jeunes installant se sont vus remettre un « Prix d’encouragement », afin de récompenser leur engagement au sein de la filière organisée.

Enfin, dans le but de récompenser les producteurs affichant les meilleures productivités et les meilleures progressions de la filière, deux autres prix ont été décernés à quatre producteurs.

Trois d’entre eux ont reçu le prix « Performance de la production» et un producteur s’est vu attribuer le prix de la « Meilleure progression » de la production.

9 producteurs de fruits et légumes, adhérents de la filière organisée ont été récompensés. 

Il me revient de donner la liste de ces lauréats, à qui j’ai dit, lors de la remise des prix, « Merci de ce que vous faites, bon courage et bonne continuation ! »

 

Au titre du Concours départemental d’élevage :

 

TECHER Jacky Marc dans la filière bovin lait par le prix de la meilleure productivité

BEGUE Eno dans la filière bovin lait par le prix de la meilleure évolution dans la qualité du lait

PAYET Michel Marcelin dans la filière bovin viande naisseurs par le prix de la meilleure productivité

PAYET Gilles Patrick dans la filière bovin viande naisseurs par le prix de la meilleure progression sur l’année

PAYET Eric dans la filière bovin viande engraisseur par le prix de la meilleure productivité – engraisseur de taurillons

BLARD Olivier Jérôme dans la filière bovin viande par le prix de la meilleure productivité – engraisseur de génisses

PAYET Eric dans la filière bovin viande par le prix de la meilleure productivité – engraisseur de taurillons

DIJOUX Marie Thérèse dans la filière porc par le prix de la meilleure productivité

HOAREAU James dans la filière porc par le prix de la meilleure progression sur l’année

PRUDHOMM Emmanuel dans la filière caprin par le prix de la meilleure productivité

PAYET Marie Thérèse dans la filière ovin par le prix de la meilleure productivité

FERRERE Marie Alice – FERRERE Mickael dans la filière lapin par le prix de la meilleure productivité

RICHARD Maxime dans la filière Volaille par le prix de la meilleure productivité – éleveur poulets blancs

ARMOUET Stéphane Billy dans la filière Volaille par le prix de la meilleure productivité – éleveur poulets jaunes

 

Au titre du Concours départemental des fruits et légumes

 

SICA TR BEGUE Alain dans la filière Kaki et pêche autres cultures par le prix Performance de la production

COOP Ananas PREBE Jérôme dans la filière Ananas par le prix d’encouragement

VIVEA DEVEAUX Joël dans la filière Tomate sous abris par le prix Qualité de la production

FRUITS DE LA RÉUNION BARRET Christian dans la filière Ananas par le prix Qualité de la production

TERRE BOURBON FONTAINE Yannis dans la filière Tomate sous serre par le prix Performance de la production

ANAFRUIT GIGANT Jean-Marie dans la filière Fruit de la passion, tomate par le prix Performance de la production

APRFLDT TECHER Maurice dans la filière Ananas, Papaye, palmiste, letchis par le prix Meilleure progression

ASSOCIATION DES VERGERS DE L’OUEST DE CAMBIAIRE Jean- Charles dans la filière mangue, fruits de la passion et ananas en cours par le prix d’encouragement

VERGERS DE LA REUNION FONTAINE Olivier dans la filière Ananas et Letchis par le prix d’encouragement

 

C’est ça aussi La Réunion « courage » !

 

22 mai 2013 – Découpage cantonal et représentation des petites communes : et si l’on montrait notre solidarité envers les petites communes ?    

 

Solidarité  Je vous ai donné hier l’information concernant le projet de découpage cantonal issu du Ministère de l’Intérieur. 

Je vous ai montré que les petites communes risquaient d’être « absorbées » par les communes plus importantes dans ce projet de découpage.

Et si les élus réunionnais faisaient preuve de solidarité envers les petites communes, afin qu’elles puissent espérer avoir une représentation au sein de la future assemblée départementale ?

 

Comment ?

1°- En adoptant le principe d’une représentation démographique supérieure à la moyenne départementale de 32 665 habitants pour les grandes communes, afin de compenser la faible population acceptée pour les cantons regroupant au moins pour moitié la population des petites communes.

2°-  En procédant au découpage sans « s’enfermer » dans une obligation de respecter des limites de circonscriptions, et des limites des cantons actuels.

Il serait aisé au Ministère de l’Intérieur, avec l’aide de la Préfecture et des mairies, de procéder à un découpage plus équitable en partant des limites des bureaux de vote actuels.

Je me suis essayé à cet exercice. 

J’entends par petites communes celles dont la population ne dépasse pas 15 000 habitants.

On peut donc considérer que les communes de Saint-Philippe, Sainte-Rose, La Plaine des Palmistes, Bras-Panon, Salazie, Trois Bassins, Les Avirons, Etang Salé, Cilaos, Entre-Deux, et Petite Île sont concernées, soit 11 communes.

La population totale de ces 11 communes est de 90 842 habitants, soit 11,12 % de la population totale de La Réunion (816 365 habitants).

En analysant les cantons 1, 3, 15, 16, 17, 19 et 24, il est possible de retrouver dans la future assemblée 9 à 10 élus représentant les petites communes, soit 18 à 20 % de l’assemblée de 50 futurs conseillères et conseillers départementaux.

Voilà ce que ça donne.

 

Canton 1 – Saint-Philippe (5 100 habitants), Sainte-Rose (6 822 habitants), et la Plaine des Palmistes (5 072 habitants) pour une population totale de 16 994 habitants (soit un chiffre de 47,95 % inférieur à celui de la moyenne départementale de 32 655 habitants).

Canton 2 – Saint-Benoît 1 (18 406 habitants) et Saint-Benoît 2 (16 276 habitants) pour une population totale de 34 682 habitants (soit un chiffre de 6,20 % supérieur à celui de la moyenne départementale de 32 655 habitants).

Canton 3 – Bras-Panon (11 699 habitants) et Salazie (7 406 habitants) pour une population totale de 19 105 habitants (soit un chiffre de 41,49 % inférieur à celui de la moyenne départementale de 32 655 habitants).

Canton 4 – Saint-André 2 (18 613 habitants) et Saint-André 3 (15 249 habitants) et une partie de Saint-André 1 (12 000 habitants) pour une population totale de 45 862 habitants (soit un chiffre de 40,44 % supérieur à celui de la moyenne départementale de 32 655 habitants).

Canton 5 – Le reste de Saint-André 1 (19 077 – 12 000 soit 7 077 habitants) Sainte-Suzanne (22 437 habitants) et une partie de Sainte-Marie (15 000 habitants) pour une population totale de 44 514 habitants (soit un chiffre de 36,31 % supérieur à celui de la moyenne départementale de 32 655 habitants).

Canton 6 – Le reste de Sainte-Marie (30 367 – 15 000 soit 15 367 habitants), Saint-Denis 7 (13 964 habitants) et Saint-Denis 9 (15 068 habitants) pour une population totale de 44 399 habitants (soit un chiffre de 35,96 % supérieur à celui de la moyenne départementale de 32 655 habitants).

Canton 7 – Saint-Denis 1 (11 176 habitants) et Saint-Denis 2 (24 364 habitants) pour une population totale de 35 540 habitants (soit un chiffre de 8,83 % supérieur à celui de la moyenne départementale de 32 655 habitants).

Canton 8 – Saint-Denis 3 (12 797 habitants), Saint-Denis 4 (13 841 habitants) et Saint-Denis 5 (13 937 habitants) pour une population totale de 40 575 habitants (soit un chiffre de 24,25 % supérieur à celui de la moyenne départementale de 32 655 habitants).

Canton 9 – Saint-Denis 6 (14 974 habitants) et Saint-Denis 8 (25 088 habitants) pour une population totale de 40 062 habitants (soit un chiffre de 22,68 % supérieur à celui de la moyenne départementale de 32 655 habitants).

Canton 10 – La Possession pour une population totale de 30 167 habitants (soit un chiffre de 7,61 % inférieur à celui de la moyenne départementale de 32 655 habitants).

Canton 11 – Le Port 1 (17 122 habitants) et Le Port 2 (21 487 habitants) pour une population totale de 38 609 habitants (soit un chiffre de 18,23 % supérieur à celui de la moyenne départementale de 32 655 habitants).

Canton 12 – Saint-Paul 1 (12 624 habitants) et Saint-Paul 2 (19 919 habitants)  pour une population totale de 32 543 habitants (soit un chiffre de 0,34 % inférieur à celui de la moyenne départementale de 32 655 habitants).

Canton 13 – Saint-Paul 3 (25 423 habitants) et une partie de Saint-Paul 4 (10 000 habitants) pour une population totale de 35 423 habitants (soit un chiffre de 8,47 % supérieur à celui de la moyenne départementale de 32 655 habitants).

Canton 14 – Le reste de Saint-Paul 4 (18 391 – 10 000 soit 8 391 habitants) et Saint-Paul 5 (27 142 habitants) pour une population totale de 35 533 habitants (soit un chiffre de 8,81 % supérieur à celui de la moyenne départementale de 32 655 habitants).

Canton 15 – Trois-Bassins (7 057 habitants) et une partie de Saint-Leu 2 (10 000 habitants) pour une population totale de 17 057 habitants (soit un chiffre de 47,76 % inférieur à celui de la moyenne départementale de 32 655 habitants).

Canton 16 – Le reste de Saint-Leu 2 (15 172 – 10 000 soit 5 172 habitants), Saint- Leu 1 (15 332 habitants) et Les Avirons (10 455 habitants) pour une population totale de 30 959 habitants (soit un chiffre de 5,19 % inférieur à celui de la moyenne départementale de 32 655 habitants).

Canton 17 – Etang Salé (13 484 habitants) et une partie de Saint-Louis 1 (15 000 habitants) pour une population totale de 28 484 habitants (soit un chiffre de 12,87 % inférieur à celui de la moyenne départementale de 32 655 habitants).

Canton 18 – Le reste de Saint-Louis 1 (26 492 – 15 000 soit 11 492 habitants) et une partie de Saint-Louis 2 (16 000 habitants) pour une population totale de 27 492 habitants (soit un chiffre de 15,81 % inférieur à celui de la moyenne départementale de 32 655 habitants).

Canton 19 – Le reste Saint-Louis 2 (24 968 – 16 000 soit 8 968 habitants), Cilaos (5 989 habitants) et Entre Deux (6 176 habitants) pour une population totale de 21 133 habitants (soit un chiffre de 35,28 % inférieur à celui de la moyenne départementale de 32 655 habitants).

Canton 20 – Le Tampon 1 (21 024 habitants) et Le Tampon 2 (14 207 habitants) pour une population totale de 35 231 habitants (soit un chiffre de 7,88 % supérieur à celui de la moyenne départementale de 32 655 habitants). 

Canton 21 – Le Tampon 3 (16 632 habitants) et Le Tampon 4 (20 795 habitants) pour une population totale de 37 427 habitants (soit un chiffre de 14,61 % supérieur à celui de la moyenne départementale de 32 655 habitants).

Canton 22 – Une partie de Saint-Pierre 3 (9 000 habitants) et Saint-Pierre 4 (24 666 habitants) pour une population totale de 33 666 habitants (soit un chiffre de 3,09 % supérieur à celui de la moyenne départementale de 3 habitants).

Canton 23 – Une partie de Saint-Pierre 1 (9 000 habitants) Saint-Pierre 2 (14 264 habitants) et le reste de Saint-Pierre 3 (18 494 – 9 000 soit 9 494 habitants) pour une population totale de 32 758 habitants (soit un chiffre de 0,31 % supérieur à celui de la moyenne départementale de 32 655 habitants).

Canton 24 – Le reste de Saint-Pierre 1 (18 613 – 9 000 soit 9 613 habitants) et Petite Île (11 582 habitants) pour une population totale de 21 195 habitants (soit un chiffre de 35,09 % inférieur à celui de la moyenne départementale de 32 655 habitants).

Canton 25 – Saint-Joseph 1 (18 959 habitants) et Saint-Joseph 2 (18 887 habitants) pour une population totale de 35 846 habitants (soit un chiffre de 9,77 % supérieur à celui de la moyenne départementale de 32 655 habitants).

 

Voir aussi les articles suivants sur mon blog : 

21 mai 2013 : À propos du découpage cantonal pour 2015 – Le projet du ministère de l’intérieur : pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué ?

14 mai 2013 : Du nouveau à propos de la réforme électorale : un découpage cantonal semblant vouloir préserver les intérêts des petites communes… mais comment ?

25 mars 2013 : Contribution au débat – Hypothèse de carte cantonale à La Réunion en cas d’application du droit commun issu de l’Acte III de la décentralisation

 

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